P. S. : Avouons-le : je suis archi nulle en informatique, ne sais ni dessiner ni jouer du piano ni traduire l’espagnol. J’ai mes limites, comme nous tous je suppose, mais, loin de me désespérer (je ne suis pas douée non plus pour le désespoir), ce constat aurait tendance à m’enthousiasmer au contraire : je ne sais pas faire grand-chose de mes dix doigts, et alors ? J’en connais qui savent et tous ont généreusement accepté de me donner ce que jamais je n’aurais pu réaliser par mes propres moyens, alors :
un immense merci à Christian Domec pour toute la partie technique de ce cahier (mise en ligne des textes, activation des liens, etc.) – ma dette envers vous est si grande que je ne sais comment la rembourser, ni même si vous rendre autant que vous m’avez donné est seulement possible… ;
à Martine pour « L’histoire du gros dragon » ;
à Alain pour sa critique typographusienne, brillante et savoureuse, de la 1ère partie de ce cahier ;
à Lise pour ses dessins (je n’ai pas encore trouvé, Lise, la manière de te remercier pour de vrai, mais je cherche, alors je finirai bien par trouver :-) ;
à Philomène pour son « Voyage au bout du monde » ;
à Mahaut pour son morceau de piano « Dans les Carpates » ;
à Mickaël pour les informations qu’il m’a données concernant la culture des betteraves, même si je ne les ai finalement pas utilisées ;
à Bernard Goorden pour sa traduction de « Horacio Kalibang » de Holmberg (je ne sais pas du tout comment vous remercier, Monsieur. Vous dire à quel point j’ai été touchée que vous acceptiez de travailler à mon « insolite » requête me semble impossible…) ;
à mon petit frère, Yorick !, pour avoir accepté que je lui pique son pseudonyme.
Merci à tous pour vos dons précieux : ils font de ce cahier, aussi tordu qu’agaçant, un véritable écrin, forcément ! ou, tout au moins, un présentoir à merveilles.