En vérité quel meilleur moyen, pour réhabiliter un auteur, que de lire et donner à lire ses écrits ?
Voici donc la nouvelle de Holmberg, « Horacio Kalibang o los automatas » dans sa version originale ou, pour les non hispanophones, dans la traduction française de l’excellent Bernard Goorden.
Trêve de plaisanteries : il est temps de retrouver l’ombre
accueillante du jeune chêne aux deux balançoires, la nuit devrait bientôt tomber sur notre premier jour de marche, un peu de repos nous fera, à moi en particulier, le plus grand bien…